« Il était une fois un silence qui rêvait de devenir une
chanson, puis je t'ai trouvée et maintenant, tout n'est plus que musique. »
Auteur : Laini Taylor
Éditions : Lumen
Genre : Fantasy, Jeunesse
Année de sortie : 2019
Nombre de pages : 629
Prix : 16€
ISBN : 978-2-37102-206-5
Synopsis
Le
rêve comme seul rempart contre la violence du monde
Il
est un monde où hommes et femmes naissent avec un don précieux, dont seuls les
plus puissants gagnent le droit de se servir en temps utile, mais toujours au
nom de l'Empire. À respectivement seize et dix-sept ans, Nova et Kora rêvent du
jour tant attendu où des envoyés à la peau bleue viendront enfin les enlever.
Alors, seulement, elles pourront accomplir leur véritable destin.
Très
loin de là, à travers l'espace et le temps, dans la mythique Cité oubliée –
qu'après tant d'années, Lazlo Lestrange peut désormais contempler de ses yeux
–, retentit une explosion qui fait basculer son monde et celui de Sarai. Leur
avenir ne tient désormais plus qu'à un fil, celui que manipule par la seule
force de son esprit une enfant cruelle et meurtrie. À la fois plus puissant et
plus vulnérable que jamais, le jeune homme va devoir choisir : sauver celle
qu'il aime ou bien tous les habitants de la ville interdite jusqu'au dernier.
Sans
compter qu'un danger plus grave encore menace... Car l'oiseau blanc qui
surveille la citadelle depuis toujours veille, et il est grand temps pour lui
de passer enfin à l'action. Dieux, monstres, fantômes, mondes étranges et
guerre totale, La Muse des cauchemars clôt avec maestria une série aussi
poétique qu’haletante. Qu'on se le tienne pour dit : l'univers de Laini Taylor
n'a pas fini de hanter nos rêves...
Mon avis
Dans ce second tome, on a le droit a de nouveaux personnages et à leurs
histoires. J’ai adorée l’histoire de ses personnages, qui se jouait
avant l’époque de Lazlo.
Ces
nouveaux personnages sont deux sœurs, Nova et Kora, qui espèrent être des
mesarthim et vont rencontrer les dieux avant qu’ils ne soit arrivés à
Désolation. J’ai tellement adorée ces passages que j’espère
qu’on aura le droit à un livre de l’époque des dieux avant qu’ils ne se fasse
massacrer !
Mais au-delà des nouveaux personnages,
j’ai adorée retrouver les anciens personnages, même si on les voit moins qu’avant,
notamment Mésange.
J’ai bien aimée la
confrontation de Lazlo et de Minya !
Presque personne ne lui prenait tête dans le premier tome, et de voir que
quelqu’un est enfin pour avoir une confrontation directe m’a fait plaisir !
(Surtout quand on connaît la raison de cette confrontation !)
Cependant,
malgré toute cette tension autour de Minya, pendant ce tome, on a pu découvrir
un peu plus qui elle est ainsi que toute les horreurs qu’elle a vécu pendant le
massacre. Ces révélations, je trouve, lui
redonne une image un peu plus humaine, comparé au premier tome où
elle était la grande méchante sans cœur.
Un point négatif, serait la lenteur des premiers chapitres. Cependant, je trouve que c’est un peu normal d’avoir
des premiers chapitres un peu lent quand on a un livre de plus de 600 pages
entre ses mains ! Donc je dirais que c’est un point négatif, mais je m’y attendais.
Pour
finir sur une bonne touche, l’histoire était vraiment magnifique ! Une fois
que tous les mystères ont été résolus et que tout se met en place, l’histoire
est vraiment belle et tellement bien pensée ! L’histoire
est tout autant poétique que la plume de Laini Taylor !
La
plume de Laini est toujours aussi magnifique, et je crois que ça serait un
crime de ne pas le mentionner ! Elle a une écriture tellement poétique, qu’une
simple histoire pourrait se transformer en chef-d’œuvre avec elle !
Un
second tome qui finit parfaitement la duologie de Laini Taylor, même si je n’ai
pas vraiment envie que ça se finisse ! Des passages merveilleux et une histoire
qui l’est d’autant plus. J’ai adorée découvrir les nouveaux personnages et de
voir de quelle façon leurs histoires s’imbriquait avec ceux des personnages qu’on
connaît déjà.
Une fin parfaite, une plume toujours
autant poétique et une histoire à en couper le souffle ! On pourrait tout
résumer en deux mots : Laini Taylor !
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